Validé en 2006, cet outil clé est valable pour une période de 10 ans, avec une révision à mi parcours. C’est donc cette révision qui s’opère actuellement.

Des changements majeurs annoncés

Pour la circonstance, les gestionnnaires du PNT sont appuyés par le consultant Jean Pierre D’HUART qui a comparé en 2011 plusieurs plans de gestion d’Afrique pour le compte de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature).

Selon la nouvelle mouture alignée sur les standards internationaux et le canevas de l’OIPR, le PAG nouveau sera un document plus pratique, axé sur une vision et des résultats clairement exprimés. Des actions réalistes pour atteindre les résultats, y seront définies. Et pour chaque résultat, des critères d’évaluation seront précisés.

Dans ce document, les fonctions de gestion se mueront en programmes de gestion, cela pour impulser chez les acteurs de terrain le pragmatisme, la proactivité et la recherche de l’efficacité, plutôt que des considérations idéales et réactives.

Cet atelier, présidé par la Direction générale de l’OIPR, a vu la participation de tous les partenaires du PNT : la GIZ, la WCF, le CSRS, les autorités administratives (Sous-préfets), les structures techniques, un représentant de Conseil Général et les populations riveraines.

Plusieurs étapes ont déjà été franchies au cours du processus :

Les étapes suivantes restent à franchir :

Elles permettront de mieux appréhender la perception des acteurs locaux et de prendre en compte leurs aspirations pour une meilleure gestion du PNT ;

La Direction du Parc national de Taï ambitionne achever le procesus au plus tard la fin du premier semestre 2012.