Le réseau hydrographique du Mont Nimba
La Réserve naturelle intégrale du Mont Nimba bénéficie d’un réseau hydrographique qui comprend plus d’une cinquantaine de cours d’eau à caractère torrentiel. Ces rivières qui proviennent du massif, prennent leur source aux flans des montagnes et se déversent dans les ravins parfois en chutes et cascades. C’est à juste titre que le massif du Nimba est considéré comme un véritable château d’eau dans la région.
Placée sous stricte protection, le tourisme de masse n'y est pas autorisé. Cette réserve regorge de nombreuses curiosités propices au tourisme scientifique.
La chaîne de montagnes
La Réserve naturelle intégrale du Mont Nimba a un relief très accidenté composé d’une longue chaîne de montagnes se dressant majestueusement sur une quarantaine kilomètres de long et s’élevant jusqu’à 1200m avec des versants très abruptes.
Cela résulte d’un plissement très ancien d’orientation sud-ouest/nord-est remontant au Birrimien. Les sommets les plus élevés sont situés en Guinée et seul le Mont Richard Molard, qui culmine à 1752m, forme un pivot à la limite de la Côte d’Ivoire. Ce relief offre un paysage panoramique de grande qualité avec l’observation de quelques animaux.
Placée sous stricte protection, le tourisme de masse n'y est pas autorisé. Cette réserve regorge de nombreuses curiosités propices au tourisme scientifique.
La savane au pied du Mont
Situées au pied du massif à environ 500 m d’altitude et même parfois jusqu’ à 900-1000 m, ce sont des formations herbeuses qui poussent généralement sur les zones de plateaux à curasses. Elles sont propices au tourisme de vision. Elles présentent d'être praticables quasiment tout le long de l’année en offrant des spectacles variés au gré des saisons.
Placée sous stricte protection, le tourisme de masse n'y est pas autorisé. Cette réserve regorge de nombreuses curiosités propices au tourisme scientifique.
Les chimpanzés de la Réserve
Les chimpanzés de la Réserve naturelle intégrale du Mont Nimba sont réputés pour concasser des noix de palmier à huile à l’aide de pierres qu’ils utilisent comme enclume et marteau. Il s’agit de la forme la plus sophistiquée d’utilisation d’outils jamais observée en milieu naturel. Ils se servent également de feuilles pour boire de l’eau, de baguettes pour pêcher les fourmis, de bâtons pour récolter du miel ou recueillir les algues flottant sur les mares et de pétioles de palmier pour piler et extraire le cœur du palmier. Placée sous stricte protection, le tourisme de masse n'y est pas autorisé. Cette réserve regorge de nombreuses curiosités propices au tourisme scientifique.
Les crapauds vivipares
La Réserve naturelle intégrale du Mont Nimba renferme une espèce qui a largement contribué à sa réputation. Il s’agit du petit crapaud vivipare Nectophrynoides occidentalis dont la taille dépasse rarement deux centimètres et demi. Cette espèce étonnante est fortement représentée au Nimba. Placée sous stricte protection, le tourisme de masse n'y est pas autorisé, cette réserve regorge de nombreuses curiosités propices au tourisme scientifique.
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