Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site

    Parc national de la Marahoué

    mercredi, 04 décembre 2019 18:23

    Animaux du Parc national de Taï

    Au moyen de caméras à déclenchement automatique, des animaux emblématiques du Parc national de Taï sont observés dans leur habitat naturel. Dans cette magnifique vidéo réalisée en 2019, trois des Big Five du Parc national de Taï (Eléphant, Panthère et Hippopotame pygmée) sont présents. Le Parc national de Taï demeure un véritable sanctuaire pour les espèces animales des forêts tropicales humides.

    Publié dans Parc national Taï

    Plus grand massif de forêt tropicale humide placé sous stricte protection en Afrique de l’Ouest avec plus de 5000 km2, le Parc national de Taï (PNT) dispose de cours d’eaux d’exception. Source irremplaçable de vie et d’inspiration, le milieu aquatique du PNT renferme encore une multitude de secrets.

    Initiée par la GIZ (Coopération Internationale Allemande) en collaboration avec l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR) et le laboratoire d’Hydrobiologie de l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan, l’étude de la faune ichtyologique, première du genre, a permis de recenser 60 espèces de poissons réparties dans 20 familles et 37 genres.

    Avec un peuplement ichtyologique dominé par la famille des Mormyridae qui témoigne de la bonne santé des écosystèmes aquatiques à l’intérieur du parc, le PNT dispose d’espèces de poissons non encore répertoriées scientifiquement.

    Des Espèces de poissons particulières

    Barbus tiekoroi

    barbus tiekoroi

    Barbus tiekoroi

    Cette espèce est répertoriée pour la première fois en Côte d’Ivoire (information M. Bamba). Les poissons ont été trouvés en Novembre 2012, tout d’abord dans le cours supérieur du San Pedro, et ensuite dans les petits ruisseaux près du Hana, si bien que l’on est en droit de supposer qu’ils sont présents ailleurs dans le PNT, dans le cours supérieur du système Cavally et du San Pedro, ce qui comble une lacune dans les connaissances (Bamba, 2012).

    Les barbeaux (appellation générique des barbus) sont caractéristiques de cours d’eaux très riches en oxygène et pour certains très petits. On n’a pas pu retrouver cette espèce dans le cours inférieur du San Pedro (information Mr. Bamba). C’est pourquoi le PNT est très important pour la conservation des cours d’eaux supérieurs ombragés, riches en oxygène. Dans toute l’Afrique de l’Ouest, ces habitats sont potentiellement très menacés par la transformation des forêts en terres cultivées (Souleymane & Kampmann, 2010), si bien que la fonction de refuge du PNT pour la survie de la biodiversité de l’ichtyo-faune est essentielle.

    Nannocharax sp. 1 + 2

    nannocharax sp1 Nannocharax sp. 1 

          

    nannocharax sp2 Nannocharax sp. 2

    Jusqu’à présent, on n’avait pris que quelques exemplaires de Nannocharax dans un ruisseau près du N’Zé et dans le Hana. D’après la forme de leur corps, ces deux espèces potentiellement nouvelles sont semblables aux poissons nomenclaturés N. fasciatus dans les livres de détermination d’Afrique de l’Ouest (Lévêque et al. 1990, Paugy et al. 2003). Mais il s’agit là certainement d’un complexe d’espèces (Dunz & Schliewen, 2009 ; Moritz, 2010).

    N. fasciatus a été décrit pour le Gabon et sa présence en Afrique de l’Ouest est improbable. Nannocharax sp. 1 correspond pour beaucoup de caractéristiques à l’espèce récemment décrite au Bénin N. signifer (Moritz, 2010), les caractéristiques divergentes doivent encore être étudiées pour savoir si elles sont spécifiques pour l’espèce. Nannocharax sp. 2 ressemble beaucoup à l’espèce 1, mais diverge, dans les détails concernant la forme du corps et dans d’autres caractéristiques morphologiques du seul exemplaire conservé des espèces de Nannocharax connues en Afrique de l’Ouest. Des études plus approfondies sont nécessaires pour confirmation. Dans un premier temps, le matériel du PNT sera comparé, dans le Musée Afrique à Tervuren (MRAC, Belgique) avec les espèces déjà décrites au moyen des collections comparatives qui s’y trouvent. (Information R. Sonnenberg).

    Epiplatys olbrechtsi

    epiplatys olbrechtsi

    Epiplatys olbrechtsi

    Cette espèce est connue du Libéria Central et de l’Est, de la Guinée du Sud-Est et de la Côte d’Ivoire et on en a décrit et nommé jusqu’à présent cinq sous-espèces (Paugy et al. 2004), dont deux endémiques en Côte d’Ivoire. La taxinomie de ce groupe d’espèces doit encore être retravaillée. Cependant, la forme et la répartition des couleurs des sous-espèces décrites jusqu’à présent et de Epiplatys olbrechtsi de la partie centrale et nord du Parc diffèrent beaucoup des exemplaires trouvés dans le Palabod, au Sud du Parc (information Sonnenberg). Il est possible qu’il s’agisse d’une nouvelle sous-espèce. Ceci sera étudié de plus près. Il est probable qu’Epiplatys olbrechtsi se trouve dans des grands secteurs du PNT, dans des petits ruisseaux et les zones inondables. D’après la littérature spécialisée, E. o. olbrechtsi se trouve dans le système Cavally et E. o. kassiapleuensis dans le secteur Sassandra.

    Nimbapanchax sp. Aff. melanopterygius

    nimbapanchax melanopterygius

    Nimbapanchax sp. Aff. melanopterygius

    Nous avons ici la première preuve de la présence de ce groupe dans la région du PNT. Jusqu’à présent on n’a pas pu encore classifier clairement cette espèce. Elle ressemble à une espèce recensée jusqu’à ce jour plus au Nord, au Sud-Est de la Guinée et au Nord-Est du Libéria, mais elle présente des divergences importantes dans la forme des nageoires. Une espèce voisine est aussi connue en Côte d’Ivoire, mais sa population se trouve plus au Nord (Sonnenberg & Busch, 2009). Dans ce cas, il peut donc s’agir d’une nouvelle espèce (information R. Sonnenberg).

    Ces poissons ont été trouvés en novembre, dans un seul endroit, dans une petite mare, près d’ADK. Novembre est le mois le plus pluvieux où se forment des micro-habitats, qui disparaissent ensuite en saison sèche. En l’occurrence, il ne s’agit pourtant pas d’un véritable annuel, même si le frai, pour la plupart des espèces, peut survivre sans peine 2 à 3 semaines dans le sol humide. Comme l’habitat, dans lequel les poissons ont été trouvés, peut probablement s’assécher périodiquement, on peut tabler sur une survie facultative du stade de l’œuf, comme signe d’une adaptation à la saison sèche.

    Le Nord du PNT, avec environ 1400-1600 mm de précipitations annuelles, en reçoit environ un tiers de moins que le Sud avec environ 2000 mm. Le Nord du PNT représente déjà, au niveau géographique et de la faune, une zone de transition avec la savane boisée qui le jouxte au Nord, si bien que ceci pourrait se manifester dans la répartition des espèces de petits poissons. Des enquêtes complémentaires seraient très souhaitables. Ainsi cette famille des Poissons (Notobranchiidae), par leurs similitudes, font davantage partie des groupes d’espèces peuplant la forêt tropicale, qui se trouvent dans les pays à l’Ouest de la Côte d’Ivoire (Liberia, Sierra Leone, Guinée).

    ETUDE APPROFONDIE (N°2) SUR LES ECOSYSTEMES AQUATIQUES DU PARC NATIONAL DE TAÏ

    Publié dans Parc national Taï

    Habitat de nos cousins proches les singes, le Parc national de Tai (PNT) abrite sous son épaisse canopée huit espèces de singes à queue. Comment vivent-ils ? Comment se présentent-ils ? Comment se comportent-ils ? Comment se nourrissent-ils ?… Embarquez pour la découverte de ces formidables primates dans l’univers du PNT.

    Publié dans Parc national Taï

    Réserve de biosphère, patrimoine mondial, le Parc national de Taï avec ses plus de 5.000 km2 renferme encore, sous son épaisse canopée, une multitude de secrets. Difficile d’accès pour l’homme, cette canopée est peu connue. Les couronnes s’élançant vers le ciel et leurs branches oscillantes sont l’habitat de nos cousins proches, les singes.  

    Comment font-ils pour se protéger contre leurs prédateurs naturels et contre l’homme qui, lui aussi, les pourchasse pour leur viande ?

    Embarquez pour une balade à travers la forêt du Parc national de Taï et découvrez le secret de l’étonnante alliance de singes qui s’y est établie.

    Dianes, axe central de la communauté des singes

    Des chercheurs souhaitent comprendre cette étrange alliance de singes dans le Parc national de Taï. Le portrait des différentes espèces de singe y est donc dressé, apparait alors l’existence de tout un canevas compliqué de relation entre ses espèces. Et il a pu être observé que le lien avec les vigilants Dianes constitue l’axe principal.

    L’union fait la force

    Dans la grande alliance des singes, ils se tiennent toujours prêts des Dianes. Pour repousser l'ennemi, ils joignent leurs forces, chaque espèce apporte ses capacités particulières dont elle fait profiter tous les autres, même les plus vigilants Dianes profitent de cette collaboration.

    Publié dans Parc national Taï
    vendredi, 29 janvier 2016 08:53

    Le Touraco à gros bec

    Download Name Play Size Duration
    download Cri du Touraco à gros bec
    0.9 MB 1:00 min

    Réservoir exceptionnel de biodiversité, le Parc national de Taï est un refuge d’animaux rares, vulnérables ou en voie de disparition ou encore d’espèces phares. Parmi ces animaux, figurent les oiseaux qui, de par leur présence, contribuent à l’équilibre de ce sanctuaire. Découvrons ici le Touraco à gros bec (Tauraco macrorhynchus).

    Description

    Le Touraco à gros bec, ou encore Tauraco macrorhynchus est une espèce d'oiseau de la famille des Musophagidae.
    La tête, le cou et la poitrine sont verts chez les adultes. Le cimier arrondi en forme de huppe qui recouvre le dessus du crâne est également vert mais avec des terminaisons noires et blanches. Le manteau, le croupion et la queue affichent une couleur bleu-violet. Le ventre est noirâtre avec une nuance verdâtre. En arrière des lores (espace compris entre la partie antérieure de l'œil et la base du bec), il y a une petite tache noire qui se poursuit en formant une fine ligne. Juste en-dessous, on peut apercevoir une ligne blanche qui va de la bouche jusqu'aux couvertures auriculaires.

    Les iris sont brun sombre, avec un anneau orbital rouge et caroncule. Le bec épais est généralement jaune éclatant avec une base rouge. Les pattes et les pieds sont noirs. Quant aux immatures ils sont plus ternes et leur crête est entièrement verte.

    Régime Alimentaire

    De même que le touraco géant, Les touracos à gros bec sont frugivores. Ils se nourrissent des fruits des parasoliers, des plantes grimpantes de la catégorie des cissus et d'une grande variété d'arbres y compris les figuiers (Ficus). Ces oiseaux complètent leur menu avec des graines, des jeunes pousses ainsi qu'avec des escargots et des insectes qui fuient les essaims de fourmis-soldats.

    Comportement

    Dans toutes les régions, ces oiseaux sont sédentaires. En dehors des caractères communs aux Musophagidae, c'est-à-dire monogamie et territorialité, on ne connaît pas grand-chose sur les mœurs des touracos à gros bec. On sait simplement qu'ils sont majoritairement arboricoles et qu'ils sont habiles à courir et à sautiller sur les branches de perchoirs en perchoirs. Pour cette espèce, nous n'avons trouvé aucune description de parades.

    Source information et photos : www.oiseaux.net

    Publié dans Parc national Taï
    jeudi, 24 mars 2016 15:36

    Ibis hagedash

    Download Name Play Size Duration
    download Hadada Ibis (Bostrychia hagedash brevirostris)
    0 MB 0:04 min
    download Hadada Ibis (Bostrychia hagedash hagedash)
    0.3 MB 0:18 min

    Réservoir exceptionnel de biodiversité, le Parc national de Taï est un refuge d’animaux rares, vulnérables ou en voie de disparition. Parmi ces animaux figurent les oiseaux qui, de par leur présence, contribuent à l’équilibre de ce sanctuaire. Découvrons ici l’Ibis hagedash (Bostrychia hagedash).

    Description

    L'ibis hagedash est un oiseau brun de moyenne taille avec des pattes brèves, un cou et une tête plus grisâtres. Chez les adultes, le manteau et le dos ont une couleur basique brune avec des reflets luisants vert et bronze. La tête est plus grise que le reste du corps et elle est ornée d'une fine rayure chamoisée qui traverse toute la largeur des joues.

    Le cou est brunâtre ou gris fumé. La couleur des primaires (Grandes plumes du bout des ailes le long des os de la main qui permettent la propulsion), des secondaires (Plumes de l'avant-bras plus petites et plus larges que les rémiges primaires) et de la plupart des couvertures alaires varie selon leur degré d'exposition à la lumière, allant du brun verdâtre au rouge pâle et au violet, formant des taches colorées sur l'aile. La queue est bleu foncé, le croupion et les sus-caudales sont verts.

    Le bec est couleur corne, mais avec une nette tache rouge à la base de la supérieure. La partie nue des lores et la base du bec sont noires. Les iris brun sombre sont entourés par un anneau orbital blanc. Les pattes et les pieds sont brun-corne foncé. Les orteils présentent une légère suffusion de rouge pâle.

    A leur naissance, les oisillons ont une peau rose et un duvet brun, un bec noir, des pattes et des pieds rosâtres. Les immatures sont semblables aux adultes, mais ils sont plus grisâtres et n'ont pas de lustre brillant sur le dos et sur les ailes.

    Régime alimentaire

    Le menu est constitué par une grande variété d'invertébrés comprenant notamment des vers de terre, des coléoptères, des papillons, des larves de mouches, des mille-pattes, des petites bestioles aquatiques et des crustacés. Une étude assez détaillée permet de préciser que près de 96% des animaux ingérés sont des insectes et que 60% d'entre eux sont capturés sur la surface du sol. Aucune proie de grande taille n'est attrapée. Les poissons semblent absents de la diète. La disponibilité en sol mou est très importante pour cette espèce. En effet, il peut y avoir une très grande mortalité pendant les sévères sècheresses à cause de la dureté du sol et de l'impossibilité d'en extraire des proies.

    Comportements

    Les ibis hagedash sont majoritairement sédentaires. Ils se nourrissent en couples en petits groupes, mais aussi parfois en rassemblements plus importants pouvant compter jusqu'à une cinquantaine d'oiseaux. On les trouve parfois en compagnie d'hérons garde-bœufs. Ils se restaurent aussi tranquillement au bord d'étangs peu profonds avec des hérons goliaths, des chevaliers sylvains et des chevaliers aboyeurs.

    Au cours de la journée, les bandes varient en taille, car elles se disloquent et partent ailleurs pour de nourrissage dès l'aube en pratiquant un vol bruyant, elles y séjournent tranquillement pendant la journée puis elles s'éloignent le soir en direction des endroits où elles vont se reposer. Quand elles se déplacent, elles volent au petit bonheur, avec des battements saccadés. Les ibis hagedash se nourrissent généralement dans du sol meuble.

    En fin de journée, ils volent paresseusement vers les dortoirs communs, certains couples se reposant à l'écart. Arrivés sur les lieux de repos, les oiseaux délivrent des cris portant à longue distance et les dortoirs voisins leur répondent. Les dortoirs contiennent habituellement une centaine d'oiseaux et ils sont mono spécifiques. Ils sont utilisés pendant toute l'année et même pendant plusieurs années consécutives.

    Source texte et photo : www.oiseaux.net

    Source vidéo : caméra piège OIPR/WCF

    Publié dans Parc national Taï
    jeudi, 24 mars 2016 15:26

    La pintade bleue (Guttera pucherani)

    Réservoir exceptionnel de biodiversité, le Parc national de Taï est un refuge d’animaux rares, vulnérables ou en voie de disparition. Parmi ces animaux figurent les oiseaux qui, de par leur présence, contribuent à l’équilibre de ce sanctuaire. Découvrons ici la pintade bleue ou pintade de Pucheran (Guttera pucherani).

    Description             

    La pintade de Pucheran (Guttera pucherani pucherani) présente un ensemble gris sombre à noir moucheté de petits points blanchâtres. Cependant, le trait de reconnaissance le plus remarquable est constitué par la tignasse bouclée de plumes noires qui culmine au sommet du crâne. Une peau rouge cerne les orbites, couvre les joues, les oreillons et la partie antérieure du cou. Les iris sont rouges. Le reste de la tête et le haut du cou sont recouverts par une peau nue bleu-cobalt brillant. Le collier noir qui fait la transition entre le cou et la poitrine est presque insignifiant, si bien que les mouchetures blanches arrivent presque jusqu'à la partie nue du cou. La queue noire ne possède aucune caractéristique remarquable si ce n'est qu'elle est courte et maintenue légèrement élevée. Les pattes sont brun foncé à noir.

    Régime alimentaire

    La pintade huppée se nourrit surtout de graines et de fruits auxquels elle ajoute d'autres éléments végétaux, des coléoptères, des sauterelles, des termites et même de petits escargots. Elle boit aux points d'eau et dans les flaques. Pendant la saison sèche, lorsque les ressources aquatiques viennent à manquer, la pintade se sert de son bec pour creuser le sol, en quête de racines et de bulbes qui lui permettent de se désaltérer. Son activité est essentiellement diurne et elle déambule, tête baissée, cherchant sur le sol de façon opportuniste toutes les ressources qui se présentent. La pintade de Pucheran prélève quelques fruits directement dans les arbres mais on voit souvent les bandes suivre la progression des singes frugivores dans les branches où ils mangent fruits et noix. Les oiseaux attendent alors que ces fruits tombent à terre.

    Comportements

    La pintade de Pucheran est hautement grégaire en dehors de la période de nidification et on l'observe souvent en bandes de 10 à 30 oiseaux. Les troupes les plus importantes peuvent atteindre jusqu'à 50 membres. Au sein de ces troupes, les groupes familiaux restent souvent unis et peuvent parfois vivre à part. La pintade de Pucheran passe la nuit perchée dans les arbres. Au petit matin, elle descend se nourrir dans le sous-bois ou les fourrés. Lorsque la chaleur est à son comble, elle recherche l'abri de la végétation épaisse, mais il lui arrive de sortir du couvert pour trouver de l'eau ou prendre un bain de poussière en gonflant son plumage et en se roulant à terre. Ce comportement l'aide à se débarrasser des puces et des autres parasites qui résident dans ses plumes.

    En cas de danger, elle pousse un cri d'alarme. Dressé, le cou tendu, elle lance un trille musical aigu. En entendant cet appel, toute la bande se réfugie dans les arbres. Là, son plumage la rend pratiquement invisible. Elle attend immobile jusqu'à ce que le danger soit passé.

    Source texte et photo : www.oiseaux.net

    source vidéo : caméra piège OIPR/WCF

    Publié dans Parc national Taï
    mercredi, 22 juin 2016 09:00

    La cérémonie de la cola

    Dans le canton Patokola, au Sud-ouest de la Côte d’Ivoire, dans le département de Tabou, l’accueil des hôtes de marques se fait de façon toute particulière. Ce canton qui jouxte le Parc national de Taï, dans sa partie Sud-ouest est très hospitalier et a développé un sens élevé de la conservation de la biodiversité.

    Publié dans Parc national Taï

    Les chimpanzés du Parc national de Taï sont mondialement reconnus pour leurs capacités à utiliser des outils tels que des pierres pour casser des noix, des brindilles pour capturer des fourmis magnans ou des baguettes pour retirer la moelle des os, etc.

    Suivez avec nous des explications données par les guides.

    Publié dans Parc national Taï
    Copyright © 2023 OIPR - Tous droits réservés
    06 BP 426 Abidjan 06 - Tel : (225) 27 22 41 40 59 - Fax : (225) 27 22 41 38 67 - Email : info@oipr.ci

    Please publish modules in offcanvas position.