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    Parc national de la Marahoué

    Super User OIPR

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    La première réunion du Comité de Gestion Locale de la Réserve de Dahliafleur s'est tenue au sein de la salle de conférence de la Direction Générale de l'OIPR le 14 Aout 2013 en présence du Préfet de Région, Préfet d'Abidjan, du Sous-Préfet de Bingerville, des riverains, des représentants de collectivités locales (District d'Abidjan, les mairies de Cocody et de Bingerville) et d'ONG.

    Au terme des présentations et des échanges, les participants ont fait d'importantes recommandations notamment :

    • la valorisation de la Réserve à travers un partenariat avec le District autonome d'Abidjan ou les communes de Cocody et de Bingerville, ou toute autre personne morale exerçant dans le domaine de protection des fleurs.

    • la clôture de la Réserve pour assurer sa sécurité physique.

    vendredi, 13 décembre 2013 18:11

    Conservation durable du Parc national de la Comoe

    Le CGL recommande l’amenagement des infrastructures touristiques et de surveillance

    Le mercredi 20 novembre dernier, en présence de M.TUO Fozié,Préfet de Région du Bounkani,Préfet du Département de Bouna et du Lt-Col TONDOSSAMA Adama , Directeur Général de l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR), la deuxième réunion du Comité de Gestion Locale (CGL) du Parc national de la Comoé (PNC), au titre de l’année 2013, s’est tenue à l’intérieur de cette aire protégée, à 7 Km du village de Bania. Tous les membres statutaires du Comité, à l’exception du Préfet de Kong, ont pris part à cette session.

    Cette réunion a également enregistré la participation d’autres personnalités, notamment le Directeur Général de l’ANADER, un représentant du Conseil régional du Bounkani et le Préfet du département de Doropo, nouvellement admis en qualité de membre statutaire. Objectif, permettre aux membres dudit Comité de se retrouver , d’échanger et de donner leur avis sur les actions de gestion en cours au Parc national de la Comoé. Après les allocutions prononcées par le DG de l’OIPR et le Préfet de Bouna, les membres ont passé en revue les points inscrits à l’ordre du jour portant principalement sur l’analyse plan d’aménagement et de gestion du PNC, les perspectives de financement de la gestion du PNC,enfin, la présentation du plan de travail 2013-2014.

    Une information majeure relative à la mission de supervision du PARC-CI par la Banque mondiale effectuée du 1er au 9 octobre 2013,a été portée à la connaissance des membres du Comité. Cette mission a mis en exergue des résultats satisfaisants dans l’exécution du PARC-CI et recommandé essentiellement la finalisation du plan d’aménagement et de gestion, l’élaboration de termes de références pour une étude sur le suivi biologique du PNC ainsi que l’actualisation du manuel de procédures.

    Après la validation du Compte rendu de la session du 4 avril 2013, l’équipe de la Direction de Zone Nord-Est de l’OIPR,dirigée par le Capitaine KOUADIO Roger, a présenté aux membres du Comité les actions qui ont été entreprises, les avancées enregistrées et les bonnes perspectives qui s’annoncent pour le parc à partir de l’année 2014. A ce sujet, un Fonds de dotation de 6,5 millions d’Euros est mis en place par l’Allemagne de 2014 à 2018 et 500 millions de FCFA sont également disponibles pour le PNC dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) en 2014.

    Ces présentations ont été suivies de questions auxquelles le Directeur de Zone Nord-Est, le Chef de projet chargé de la planification et le Directeur Général de l’OIPR ont donné des réponses à la satisfaction des participants qui ont, par ailleurs, adressé des encouragements et des félicitations à l’OIPR pour le travail accompli. La poursuite des opérations de surveillance,le retour de la Direction de Zone à Bouna, l’aménagement des infrastructures de surveillance et de tourisme constituent l’essentiel des recommandations.

    Le Préfet de Bouna, Président du Comité, et le Directeur Général de l’OIPR, ont, en outre, insisté sur la notion de synergie d’actions entre tous les acteurs à la périphérie du parc pour lui assurer un bon état de conservation. D’une superficie de 1.149.150 ha. Le Parc national de la Comoé est le plus grand d’Afrique de l’ouest avec des atouts touristiques importants.Bien aménagé et sécurisé,il pourrait retrouver sa notoriété d’antan et se repositionner au niveau international.

    lundi, 25 septembre 2017 15:02

    Le parc national de la Comoé revit

    Le Parc national de la Comoé, bien de l’humanité depuis 1983, a été inscrit en 2003, en raison de la crise qu’a connue le pays, sur la liste du Patrimoine mondial en péril.

    Aujourd’hui, le parc vit l’un des moments importants de son histoire avec cette reconnaissance au niveau international par la 41e session du Comité du patrimoine mondial des efforts de gestion, une quinzaine d’années après cette inscription sur la liste du patrimoine en danger.

    C’est le fruit de l’engagement de l’Etat, de l’ensemble des partenaires locaux, des partenaires techniques et financiers mais aussi et surtout des équipes de gestion, qui, avec abnégation, ont travaillé à la gestion du parc ces dernières années.

    Aujourd’hui, l’autorité de gestion est présente en permanence et opérationnelle, les activités de gestion, en l’occurrence de surveillance, de suivi écologique, d’aménagement, de sensibilisation sont continues et l’efficacité de gestion est reconnue. La faune du parc est visible, les agressions sont maîtrisées, l’intégrité du parc et l’état de conservation sont satisfaisants. Le parc revit.

    C’est le lieu de féliciter les agents pour leur engagement et de remercier toutes les populations pour leur implication dans la gestion du parc, les autorités administratives, le Conseil régional du Bounkani pour leur soutien sans faille, le Directeur Général de l’OIPR, Colonel TONDOSSAMA Adama, pour la confiance placée en nous.

    De nombreux défis restent à relever pour consolider les acquis de gestion, préserver les services écosystémiques fournis par le parc et envisager la promotion touristique pour le bonheur des populations.

    La présence actuelle des partenaires techniques et financiers, les partenariats durables envisagés avec les acteurs du monde de la recherche et les opérateurs du secteur du tourisme devraient contribuer à relever ces défis.

    Le Parc national de la Comoé est de retour. L’avenir s’annonce radieux pour cette exceptionnelle beauté de la nature et il reste à construire. Tous, nous devons en pleine conscience y contribuer et continuer de le protéger et le promouvoir.

    Lieutenant-Colonel KOUADIO Yao Roger

    Directeur de Zone Nord-est

    Le programme de suivi écologique du Parc national de la Comoé (PNC) a prévu, pour son exécution, un protocole de suivi de la faune par camera-pièges dont les tests préalables permettent d’entrer dans l’univers de la faune de ce parc.

    Un peuplement hétérogène

    La multiplicité des habitats au PNC y favorise la présence de bon nombre d’espèces fauniques de l’Afrique de l’Ouest. Les habitats aquatiques, les forêts galeries, les ilots de forêts et les savanes sont les constituantes de ces habitats qui abritent les hippopotames et autres espèces aquatiques, les oiseaux dans leur diversité, les cobs, les hippotragues, les bubales, les éléphants, les buffles, les chimpanzés qui font l’objet de recherche scientifique par la Station de Recherche en Ecologie de la Comoé, les carnivores, les céphalophes, etc. Le mode vie de chaque espèce étant propre à l’espèce, chacun y trouve de quoi vivre aisément. Ces animaux s’adonnent à une belle démonstration de course quand ils s'aperçoivent de la présence des hommes ou engins motorisés.

    Une discrétion bien remarquée du lion

    Une mission de recherche sur le lion organisée par un chercheur en 2010, pendant les moments de reprise en main du PNC à la suite de la crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, n’a pas confirmé la présence de lion au PNC. Cependant, les témoignages de populations riveraines qui affirment entendre les rugissements de lions ainsi que les missions de patrouille régulières des agents qui rapportent des images d’empreintes de lion et de carcasse de buffle, confirment la présence de ce carnivore. Les pressions anthropiques lors de cette crise ont développé une attitude de vigilance et de discrétion en cet animal qu’on croirait à sa disparition du PNC.

    Vers une résilience de l’éléphant

    Les documentations sur le PNC ont révélé que dans les années 1977-1981 et 1988-1989, l’effectif des éléphants était respectivement de 1700 et 400 individus. La chute draconienne des effectifs a continué jusque dans les années 2010 sous l’effet du braconnage. Les inventaires aériens réalisés en 2010 et 2014 n’ont révélé presque pas de traces d’éléphants dans le PNC. Heureusement, les inventaires pédestres sur les éléphants ont donné 60 et 120 individus en 2016 et 2017. Une croissance, certes lente mais qui démontre le retour de l’éléphant au PNC.

    Un instinct de groupe et de conquête de territoire

    Des vidéos de camera-pièges ont montré des troupeaux d’éléphants d’au moins 12 individus à la mare aux buffles, une mare réputée visitée par les buffles. Un paysage multiforme et multi spectral Chaines de montagnes, collines, plaines, plateaux, cours d’eau et étendue de verdure s’entremêlent pour donner un aspect particulier et typique à ce parc. L’alternance de bleu d’azur et de diversité de vert, tachetée de sombre, qui meuble les regards, fait la beauté de cette aire protégée et suscite le repos et la régénérescence.

    La salle de conférence du siège de la Direction Générale de l’OIPR a abrité, du 07 au 08 mai 2014, un atelier de formation des agents de l’OIPR à l’utilisation du manuel de gestion de l’OIPR.

    La salle de conférence du siège de la Direction Générale de l’OIPR a abrité, du 07 au 08 mai 2014, un atelier de formation des agents de l’OIPR à l’utilisation du manuel de gestion de l’OIPR.

    Le Ministre de l’Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement Durable, Dr REMI ALLAH-KOUADIO a procédé à la remise d’équipements aux services de l’OIPR.

    Le Ministre de l’Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement Durable, Dr REMI ALLAH-KOUADIO a procédé à la remise d’équipements aux services de l’OIPR. C’était le lundi 30 Décembre 2013 au Centre d’accueil Ecotouristique du Parc national du Banco.

    Le mercredi 16 avril 2014, à l’occasion des festivités marquant le début des congés de pâques de l’établissement DUA Kobenan, l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves(OIPR) a été sollicité pour animer une conférence sur le thème : « Gestion durable des Parcs Nationaux et Réserves de Côte d’Ivoire : quels avantages ? ».

    Le mercredi 16 avril 2014, à l’occasion des festivités marquant le début des congés de pâques de l’établissement DUA Kobenan, l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves(OIPR) a été sollicité pour animer une conférence sur le thème : « Gestion durable des Parcs Nationaux et Réserves de Côte d’Ivoire : quels avantages ? ». La conférence a été animée par le Capitaine Toulo, Chargé d’Etudes à la Direction de Zone Nord-Est de l’OIPR. Cette conférence a vu la participation du Directeur des Etudes du Collège, des professeurs. Elle s’est déroulée dans ledit collège de 08h30 à 11h30.

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