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    Parc national de la Marahoué

    Super User OIPR

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    Un atelier bilan des Plans Annuels d’Activités (PAA) 2017  des Parcs nationaux d’Azagny (Grand-Lahou-21.850 ha) et des Iles Ehotilé (Adiaké-550 ha) a eu lieu les 16 et 17 novembre 2017à Grand-Lahou au sein d’un réceptif hôtelier.

    Durant trois jours, à la Station de Recherche en Ecologie de la Comoé (SREC), vingt (20) agents de la Direction de Zone Nord-est (DZNE) de l'Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR) ont participé à une session de renforcement de capacités en connaissance de la faune et de leurs habitats.

    Comment parvenir à l’émergence de citoyens modèles, respectueux de l’environnement en général et des parcs nationaux en particulier ? Telle est formulée la question fondamentale qui catalyse la débauche d’énergie des agents de l’OIPR du Secteur Soubré

    Comment parvenir à l’émergence de citoyens modèles, respectueux de l’environnement en général et des parcs nationaux en particulier ? Telle est formulée la question fondamentale qui catalyse la débauche d’énergie des agents de l’OIPR du Secteur Soubré. Ces derniers ont en effet, multiplié les séances d’éducation environnementale dans les écoles primaires de la ville Soubré.

    Fort de ses 5.360 km2 de biodiversité, le Parc national de Taï est le plus grand bloc forestier d’Afrique de l’ouest placé sous stricte protection. Sa grande richesse en faune et en flore lui ont valu son classement son inscription sur la prestigieuse liste du patrimoine mondial de l’humanité, en 1982.

    Fort de ses 5.360 km2 de biodiversité, le Parc national de Taï est le plus grand bloc forestier d’Afrique de l’ouest placé sous stricte protection. Sa grande richesse en faune et en flore lui ont valu son classement son inscription sur la prestigieuse liste du patrimoine mondial de l’humanité, en 1982. Son classement en réserve de la biosphère est intervenu deux ans plus tôt et concrétise son utilité à plusieurs égards, notamment le tourisme et la recherche scientifique.

    Un laboratoire pour la recherche scientifique

    Plus de 2000 publications scientifiques ont porté sur ce parc qui n’a pas encore fini de dévoiler tous ses secrets. D’éminents chercheurs y ont fait leurs armes ou ont été mondialement reconnus à travers les recherches qu’ils y ont menées. De multiples projets scientifiques y ont vu le jour et sont encore en cours, sous la coordination de la Station de Recherche en Ecologie Tropicale, logée au sein du parc.

    Dans l’optique d’éclairer leurs lanternes sur certaines espèces animales et écosystèmes mal connus les gestionnaires du Parc national de Taï ont inscrit dans le plan d’aménagement et de gestion (PAG 2014-2018) dudit parc le recours à la communauté scientifique. Cela se traduit aujourd’hui par la signature des conventions avec les institutions de recherches scientifiques, notamment les Universités Félix Houphouët Boigny et Nangui Abrogoua d’Abidjan et Lorougnon Guédé de Daloa.

    Ainsi, de façon périodique les chercheurs réalisant ces études font un état d’avancement de leurs travaux aux gestionnaires et parties prenantes. Ce fut le cas au cours des ateliers du deuxième et troisième trimestre pour le suivi de l’exécution du plan d’opérations du Parc national de Taï. En outre, le cadre des sessions du Comité de gestion locale de ce parc est utilisé à ce même effet.

    Bientôt, de nouvelles connaissances sur la pintade à poitrine blanche

    Au cours d’une de ces rencontres, le doctorant BROU N’da Konan Martin, encadré par le Professeur Béibro de l’Université Nangui Abrogoua d’Abidjan a levé un coin de voile sur les résultats de son thème de recherche : «Eco-éthologie et distribution de la pintade à poitrine blanche Agelastes Meleagrides Bonaparte, 1850 dans le Parc national de Taï ». Selon le présentateur, l’étude vise entre autres à connaître les comportements de cette espèce, les facteurs environnementaux qui les influencent et la biologie de sa reproduction. A terme, l’étude pourrait permettre d’envisager la domestication de cette espèce sauvage classée comme vulnérable par l’Union internationale pour la conservation de la nature.

    Par ailleurs, de nombreuses études sont en cours et portent sur les sujets tels que l’hippopotame pygmée, l’éléphant, la pintade à poitrine blanche, le faux gavial, la qualité des eaux et la faune aquatique, pour ne citer que ces exemples.

    Le Colonel Tondossama Adama, Directeur général de l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves, n’a pas manqué de remercier la communauté scientifique pour l’appui inestimable apporté aux gestionnaires. Les résultats de ces recherches, en plus d’apporter des connaissances nouvelles, orientent les gestionnaires dans leurs prises de décisions, a-t-il souligné.

    Après sa création en 2002, vu le contexte dynamique dans lequel évoluent les AP, l’OIPR a toujours été animé par le souci de renforcer les capacités de son personnel dans divers domaines notamment la surveillance, la planification, le suivi-évaluation, l’approche participative, le suivi écologique, la gestion du personnel, la communication et celui de mettre à la disposition des gestionnaires d’outils d’évaluation de l’efficacité de gestion tels que RAPPAM, IMET, EOH et METT.

    Le samedi 20 août 2017, le Parc national de la Comoé a été le lieu choisi par l'Association des Elèves et Etudiants du Département de Kong dénommée AEEDEK-Nouvelle Génération pour satisfaire leur curiosité et aussi passer du bon temps pendant ces vacances scolaires.

    Le samedi 20 août 2017, le Parc national de la Comoé a été le lieu choisi par l'Association des Elèves et Etudiants du Département de Kong dénommée AEEDEK-Nouvelle Génération pour satisfaire leur curiosité et aussi passer du bon temps pendant ces vacances scolaires.

    Cette visite s’inscrit dans le cadre de l’exécution du programme d’éducation environnementale mettant un accent particulier sur des visites guidées au profit des groupes socioprofessionnels et scolaires. Au cours de leur randonnée, les élèves ont observé les cobes, les bubales, les hippopotames, etc. et apprécié la beauté de la nature qui offrait une verdure agréable typique au Parc national de la Comoé.

    Par ailleurs, les participants se sont rendus à Kafolo pour une visite du centre de formation de l'OIPR et de l'hôtel Kafolo Safari Lodge. Cette belle sortie a pris fin avec la visite du pont du fleuve Comoé. C’est avec des sentiments de satisfécits que les élèves ont adressé leurs remerciements à la Direction de Zone Nord-Est pour la conservation de ce parc qui est classé site du Patrimoine Mondial de l'UNESCO et Réserve de Biosphère.

    Les populations de sept (07) localités de la Côte d’Ivoire ont été sensibilisées à la protection des parcs nationaux et réserves naturelles (PNR). Il s’agit de Danané, Duékoué, Guiglo, Bonon, Irobo, Bingerville et Adiaké.

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