Super User OIPR
Message du nouvel An 2017 du Directeur Général
Chers collaborateurs, chers partenaires, une année nouvelle s’est annoncée. En effet, l’année 2016 s'est envolée faisant place à une nouvelle. Comme bilan pour notre structure, je puis affirmer sans triomphalisme aucun, que nous n'avons pas failli à notre mission qui est la conservation des parcs nationaux et réserves naturelles de notre pays. L’OIPR a tenu le bon cap, malgré certaines difficultés rencontrées. Je salue ici, au passage, la bravoure et l'adresse de tous ces bras valides qui ont tenu le gouvernail, nous permettant ainsi d'accoster à la rive de 2017 sans dommage. Ayons aussi une pensée pieuse pour tous nos partenaires, collègues, parents, proches et amis qui, dans la traversée de 2016, n'ont pu franchir la rive, pour atteindre 2017 et être ainsi avec nous.
Gestion des parcs nationaux et réserves : l’OIPR affiche un bilan positif
Classé deuxième meilleure administration publique au titre de l’année 2015 dans le cadre du Prix d’excellence, l’OIPR ne dort pas sur ses lauriers. Ainsi, sous la direction de son premier responsable, Colonel TONDOSSAMA Adama
Le lexique des parcs nationaux et réserves naturelles
Au sens de la LOI N° 2002-102 DU 11 FEVRIER 2002 RELATIVE A LA CREATION, A LA GESTION ET AU FINANCEMENT DES PARCS NATIONAUX ET RESERVES NATURELLES », les expressions ci-après ont les définitions suivantes :
Madame le Ministre Anne OULOTO en visite à l’OIPR
Le Ministre Anne Désirée Ouloto était le jeudi 8 Février 2017 dans les locaux de l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR), pour faire suite à la tournée dans les structures placée sous sa tutelle. A la salle de conférences de cet Etablissement Public National (EPN) de type particulier, le Ministre de la Salubrité,de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) a présidé une importante séance de travail. On pouvait noter dans la délégation ministérielle, la présence, entre autres, du Directeur de Cabinet, du Directeur de Cabinet Adjoint, de l’Inspectrice Générale, du Chef de Cabinet et du Directeur de la Communication.
Le premier Conseiller de l’Ambassade de Turquie en visite au Parc national du Banco
SEM Sait Evren GUNER, Premier Conseiller de l’Ambassade de Turquie en Côte d’Ivoire a effectué une visite au Parc national du Banco (PNB) le samedi 25 mars 2017 à l’invitation de l’OIPR et de l’agence Luxe Voyages.
Le premier Conseiller de l’Ambassade de Turquie en visite au Parc national du Banco
SEM Sait Evren GUNER, Premier Conseiller de l’Ambassade de Turquie en Côte d’Ivoire a effectué une visite au Parc national du Banco (PNB) le samedi 25 mars 2017 à l’invitation de l’OIPR et de l’agence Luxe Voyages.
L’OIPR et ses partenaires valident le rapport des inventaires sur les éléphants au Parc national de la Comoé
Dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de suivi écologique du Parc national de la Comoé (PNC), l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves a réalisé les inventaires sur les éléphants en 2015 et 2016. Les résultats des données collectées au cours des missions ont été présentés lors d’un atelier dans la salle de réunion de la préfecture de Bondoukou, le jeudi 02 mars 2017.
L’OIPR et ses partenaires valident le rapport des inventaires sur les éléphants au Parc national de la Comoé
Dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de suivi écologique du Parc national de la Comoé (PNC), l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves a réalisé les inventaires sur les éléphants en 2015 et 2016. Les résultats des données collectées au cours des missions ont été présentés lors d’un atelier dans la salle de réunion de la préfecture de Bondoukou, le jeudi 02 mars 2017. Cet atelier a enregistré en plus de l’équipe
Organigramme
Structure de gestion
En application de la loi n° 2002-102 du 11 février 2002, le Gouvernement ivoirien a créé, par le Décret n° 2002-359 du 24 juillet 2002, l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR) spécifiquement chargé de la gestion durable des parcs nationaux et réserves. Cet office est un établissement public national de type particulier, bénéficiant d’une autonomie de gestion administrative et financière. Placé sous la tutelle technique du Ministère chargé de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable et sous la tutelle économique et financière du Ministère chargé des finances, l’OIPR comprend :
- Un Conseil de gestion, organe de décision, ouvert à des personnalités extérieures à l’administration publique issues des ONG à vocation environnementale, du secteur privé et des populations riveraines ;
- Un conseil scientifique : organe consultatif ;
- Une Direction Générale, organe d’exécution, avec des entités de coordinations régionales appelées Directions de Zones et des entités opérationnelles que sont les Secteurs et les Brigades mobiles.
La Direction de Zone Nord-Est, une des cinq Directions de Zones, mise en place en 2008 et basée à Bouna, a la charge de gérer le Parc national de la Comoé. Elle dispose, à cet effet, de six unités opérationnelles dont cinq secteurs et une brigade mobile. Elle comprend aussi trois services : Mesures riveraines, Suivi écologique et Comptabilité.
La Direction de Zone Nord-Est a pour attributions de :
- faire appliquer la législation en vigueur en matière de protection, de gestion durable et de valorisation du Parc national de la Comoé et de sa zone périphérique ;
- élaborer et mettre en œuvre le Plan d’aménagement et de gestion, le plan d’affaires ainsi que toutes les dispositions nécessaires à la valorisation du Parc national de la Comoé ;
- gérer tout projet pour la conservation du Parc national de la Comoé.
Pour mener à bien les missions qui lui sont assignées, la DZNE s’est dotée de :
- cinq unités opérationnelles installées autour du PNC, chacune d’elles étant chargée d’un secteur ;
- d’une Brigade mobile de surveillance, et
- de services techniques basés au siège de la Direction à Bouna et chargés des mesures riveraines, du suivi écologique, de la comptabilité et de l’administration. Elle compte également un chargé d’études (pour le suivi-évaluation), un secrétariat et un conseiller technique chargé du contentieux.
Les secteurs (Bouna, Dabakala, Kong, Nassian et Téhini) assurent la gestion quotidienne du PNC et la coordination locale de l’ensemble des activités. Chaque secteur couvre un territoire (parc, zone périphérique) bien déterminé sur lequel il exerce ses attributions.
La Brigade mobile
La brigade mobile est chargée de la surveillance du PNC et de la prévention contre toutes formes d’agression de ses ressources naturelles. Elle a pour mission de :
- participer à l’élaboration d’une stratégie de surveillance efficace du parc ;
- mettre en œuvre toutes les dispositions prévues dans la stratégie de surveillance dont l’implication des populations riveraines à la surveillance.
La cellule des Mesures riveraines
La cellule des mesures riveraines est une cellule chargée de mettre en œuvre les actions permettant une adhésion des populations de la périphérie à la gestion durable du Parc national de la Comoé et des ressources naturelles dans les terroirs avoisinants. A ce titre, elle a pour tâches de :
- gérer les relations avec les populations locales, d’identifier et mettre en œuvre les projets de développement communautaire en relation avec la conservation des ressources naturelles ;
- développer la communication pour le changement de comportement et l’éducation environnementale ;
- rechercher des partenariats pour un développement harmonieux de la zone périphérique ;
- appliquer des mesures mutuellement bénéfiques aux populations de la périphérie et au PNC ;
- organiser et suivre l’exploitation touristique du PNC.
Le Service Suivi écologique et Système d’information géographique (SE-SIG)
Ce service est chargé de l’élaboration et de la mise en œuvre du programme de suivi écologique au Parc national de la Comoé. Il s’agit spécifiquement de :
- suivre et évaluer la dynamique des populations animales et végétales ainsi que les impacts de la surveillance et des mesures prises en périphérie sur la conservation des ressources naturelles ;
- analyser et interpréter toutes informations, images satellitaires et données collectées au sol, susceptibles d’orienter la prise de décision de gestion du PNC ;
- contribuer, avec l’appui technique du service SIG du Siège et la collaboration des secteurs, à la mise en place et à l’actualisation d’une base de données sur le PNC.
Le Service Comptabilité
Le service de la comptabilité est chargé des aspects financiers et des procédures comptables de la gestion du parc.
Le Service Administration
Le service de l’administration et de la logistique est chargé de la gestion du personnel, du suivi de l’ensemble du matériel et des stocks de la DZNE.
Historique de la création du Parc national de la Comoé
Le Parc national de la Comoé, élément le plus septentrional de la "diagonale écologique" traversant le pays du sud-ouest au nord-est, est assurément, un élément majeur du réseau d’aires protégées de la Côte d’Ivoire. Le Parc national de la Comoé tire son nom du fleuve qui le traverse du nord au sud sur environ 200 kilomètres.
En 1926, l’administration coloniale a procédé, simultanément, à la création du "Parc-refuge de la région du Moyen Sassandra et du Bas Cavally" au sud-ouest (dans la région de Taï) et du "Parc de la région Nord" situé dans la subdivision de Bouna. Ce dernier sera dénommé plus tard "Réserve de faune de Bouna". Sur la rive droite de la Comoé, l’administration a ensuite ordonné le classement de la Forêt de Kong dans le domaine public. Cette aire protégée s’étendait alors, de la route Bouna-Ferkessédougou à la rivière Syin, affluent de la Comoé. Par arrêté n°3603 SF du 03 novembre 1942, a été créée la « Réserve de faune de Bouna », qui a été étendue et officiellement « destinée à être constituée en parc national ».
En 1968, par Décret n°68-81 du 9 février, l’ensemble formé par la "Réserve de faune de Bouna" et la "Forêt Classée de Kong" est érigé en parc national dénommé Parc national de la Comoé s’étendant sur une superficie de 1 150 000 hectares.
En termes de superficie, le PNC est la plus grande aire protégée du réseau des Parcs nationaux et Réserves de Côte d’Ivoire. Il est la troisième aire protégée de l’Afrique de l’Ouest après la Réserve de l'Aïr-Ténéré du Niger (7 736 000 ha) et le Parc national du Banc d'Arguin en Mauritanie (1 200 000 ha) et, de loin, le parc national le plus vaste en zone de savane. Avec cette superficie, le PNC regorge un potentiel écologique inestimable qui ne pouvait qu’attirer l’attention de la communauté scientifique et du monde de la conservation sur le plan international. Son classement en Réserve de biosphère en 1982 et en site du Patrimoine mondial en 1983, en témoignent.
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Atelier d'évaluation du Parc national de Taï à partir de l'outil EOH