Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site

    Parc national de la Marahoué

    Super User OIPR

    Super User OIPR

    Les chimpanzés sont les espèces animales qui ont le plus été l’objet de recherche scientifique continue au Parc national de Taï. 33 années de recherches ont été consacrées à cette espèce emblématique dont la renommée est aujourd’hui mondiale. Cet évènement a été célébré du 05 au 13 octobre 2012, à l’Institut Français de Côte d’Ivoire (IFCI) et au Parc national du Banco.


    La manifestation a été rehaussée par la présence de nombreuses personnalités dont le Ministre de la Recherche Scientifique, le Ministre des Eaux et Forêts et l’Ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire.

     

    C’est en 1979 que le Professeur Christophe Boesch a débuté ses recherches sur les chimpanzés du Parc national de Taï. 33 années après, la WCF et ses partenaires ont consacré une huitaine de jours pour la diffusion de ces résultats de recheches. Ce fut un évènement riche d’enseignements mais également haut en couleur.

    La cérémonie d’ouverture des 33 ans de recherches et de conservation des chimpanzés de Côte d’Ivoire s’est articulée autour de trois grands axes :

    Exposition permanente

    5 structures ont entretnu pendant huit jours le public qui s’est déplacé nombreux sur le site de l’IFCI :

    • L’Office Ivoirien des parcs et Réserves (OIPR)

    • La Société de Développement des Forêts (SODEFOR)

    • Le Centre Suisse de Recherches Scientifiques (CSRS)

    • La Cellule des Projets Environnementaux (CPE)

     

    Présentations scientifiques :

    Huit (8) conférences scientifiques ont permis de faire la lumière sur le travail abattu et également de fixer dans les esprits, les enjeux de la conservation de la biodiversité :

    • « Histoire du TCP : 33 ans de recherches sur les chimpanzés »

    • « Les perspectives de la recherche sur les chimpanzés »

    • « Maladies et menaces sur les chimpanzés »

    • « La recherche du projet singe »

    • « WCF, conservation des chimpanzés »

    • « L’impact de la recherche sur la conservation des parcs et réserves »

    • « Initiative de gestion durable de la faune et la flore dans les forêts classées »

    • « Enjeux de la conservation de la forêt/intérêts économiques »

    Sensibilisation et éducation environnementale.

    Au cœur de ces journées, la sensibilisation et l’éducation environnementale se sont déroulées sous plusieurs facettes. A l’endroit des enfants, la CPE a conduit avec brio des ateliers interactifs, des animations culturelles avec chants, danses, concours de dessin, de miss éco-nature et de génie éco-nature, du théâtre, et des visites dans la forêt du Parc national du Banco. Des élèves de différentes communues d’Abidjan ont participé avec ferveur à ces séances d’éducation environnementale. Des projections de films sur des espèces animales du Parc national de Taï (chimpanzés, singes et hippopotame pygmée), ont été utilisées comme moyen de sensibilisation des adultes. La présence très remarquée de la troupe théâtrale Ymako Téatri, a apporté un cachet spécial à la sensibilisation des adultes avec les pièces :

    • « La forêt là, si c’est fini, Ah ! »

    • « Nos cousins de la forêt »

    La clôture des 33 ans de recherche et de conservation des chimpanzés de Côte d’Ivoire, s’est déroulée au Parc national du Banco, et a vu la participation de nombreuses autorités dont l’ambassadeur de l’Inde en Côte d’ivoire. Elle a été ponctuée d’allocutions, de représentation théâtrale, de visite en forêt et de remise de récompenses aux lauréats des différents concours.

    Durant huit jours, la conservation des chimpanzés et leur habitat, a été magnifiée sous plusieurs angles. Les parties prenantes ont montré leur engagement pour le soutien de cette cause. Les populations, dans leurs diversités, n’ont pas boudé leur plaisir et c’est à ce titre qu’elles ont signé le manifeste pour protéger les chimpanzés et le Parc national de Taï.

    On l’avait annoncé, il y a quelques mois, la Journée Hippopotame Pygmée (JHP) 2012, a tenu toutes ses promesses. Le 19 octobre 2012 à Taï, les enfants et leurs parents, ont crié haut et fort leur engagement pour la conservation de l’Hippopotame pygmée et son habitat.

    On l’avait annoncé, il y a quelques mois, la Journée Hippopotame Pygmée (JHP) 2012, a tenu toutes ses promesses. Le 19 octobre 2012 à Taï, les enfants et leurs parents, ont crié haut et fort leur engagement pour la conservation de l’Hippopotame pygmée et son habitat.

    Les acteurs de la gestion du Parc national de Tai (PNT) ont salué le taux de performance de 79% réalisé pour l’exécution des activités planifiées pour le troisième trimestre 2017 du plan d’opération (PO) de la gestion du Parc national de Taï (PNT) contre les 77% du deuxième trimestre.

    Les acteurs de la gestion du Parc national de Tai (PNT) ont salué le taux de performance de 79% réalisé pour l’exécution des activités planifiées pour le troisième trimestre 2017 du plan d’opération (PO) de la gestion du Parc national de Taï (PNT) contre les 77% du deuxième trimestre.

    Le 16 novembre 2012, l’association des jeunes de Djouroutou s’est donnée pour ambition de relever un défi, celui de créer un cadre d’échanges réunissant la jeunesse autour de thèmes très importants que sont la conservation du Parc national de Taï et la lutte contre le VIH/SIDA.

    Le 16 novembre 2012, l’association des jeunes de Djouroutou s’est donnée pour ambition de relever un défi, celui de créer un cadre d’échanges réunissant la jeunesse autour de thèmes très importants que sont la conservation du Parc national de Taï et la lutte contre le VIH/SIDA.

    Dénommée "Journée de Sensibilisation Couplée Parc national de Taï et VIH/SIDA", cette activité était placée sous le parrainage de Monsieur SOKO Gnépa Emile, cadre de la région.

    La Direction de Zone Sud-ouest, gestionnaire du Parc national de Taï (PNT) a été invitée pour animer une conférence sur les enjeux de la conservation du Parc national de Taï et à faire une projection de films sur le PNT. Pour une première édition, cette activité a connu un réel engouement.

    Deux conférences ont enrichies la première partie de cette journée :

    • « Les enjeux de la conservation du Parc national de Taï », animée par le chargé de communication du Parc national de Taï
    • « Les modes de transmission et de prévention du VIH/SIDA », animée par le médecin-chef du Centre de Santé Urbain de Djouroutou.

     

    L’après-midi, un match de gala a opposé l’équipe de JCP (Jeunesse Club des Planteurs) à celle d’Oiseaux Rares. Ce match s’est soldé par la victoire d’Oiseaux Rares 1 but à 0. Des messages sur la conservation du PNT et la lutte contre le Sida ont été délivrés au public présent.

    Dans la soirée, de 20 heures à 23 heures, environ 600 personnes (vieillards, adultes et enfants) ont assisté à la projection de films, sur les singes du PNT et l’hippopotame pygmée. Cette séance a été ponctuée d’échanges avec le public et de sensibilisation sur les thèmes de l’évènement.

    Rappelons, que cette initiative de la jeunesse de Djouroutou a été soutenue par d’autres partenaires que sont la GIZ, la PALMCI et la WCF.

    Le PNT appuie le développement local
    Le Parc national de Taï a contribué, durant le mois de novembre 2012, à la construction d’un pont sur la rivière San-Pedro, à Kouadiokro, dans le secteur de Djapadji.

    le PNT appuie le développement local
    Le Parc national de Taï a contribué, durant le mois de novembre 2012, à la construction d’un pont sur la rivière San-Pedro, à Kouadiokro, dans le secteur de Djapadji.

    La conservation du Parc national de Taï, passe également par le bien être des populations riveraines.

    Les gestionnaires l’ont si bien compris, qu’ils n’hésitent pas un seul instant, quand les moyens le permettent, à apporter leur contribution aux actions de développement local.

     

    Les populations de Kouadiokro sont aujourd’hui soulagées du problème d’écoulement de leurs produits agricoles. Elles se sont investies dans la réalisation d’un ouvrage de franchissement sur la rivière San-Pedro.

    Le Parc national de Taï est intervenu pour parachever l’ouvrage, notamment dans ses aspects sécuritaires :

    • Pose de piliers sur le pont et construction de garde-fous, pour prévenir les chutes d’engins roulants, de motos cyclistes et de piétons ;
    • Pose de guide-roues sur le pont, pour orienter les véhicules qui traversent le pont ;
    • Construction de terré-maçonné, pour protéger les piliers du pont de l’érosion de l’eau.

     

    Les populations de la localité de Kouadiokro ont apprécié à sa juste valeur la contribution du Parc national de Taï et ont compris que les gestionnaires du parc ne font pas que la sensibilisation et la répression. Ils ont dans leur stratégie d’actions, l’appui au développement local, notamment la réalisation d’infrastructures communautaires de base et des activités génératrices de revenus.

    Le Parc national de Taï a entamé le processus de révision de la "boussole" qui oriente toutes ses actions : son plan d’aménagement et de gestion (PAG). C’était au cours d’un atelier qui s’est déroulé du 30 octobre au 1er novembre 2012 à San-Pédro.

    Copyright © 2023 OIPR - Tous droits réservés
    06 BP 426 Abidjan 06 - Tel : (225) 27 22 41 40 59 - Fax : (225) 27 22 41 38 67 - Email : info@oipr.ci

    Please publish modules in offcanvas position.