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    Parc national de la Marahoué

    Super User OIPR

    Super User OIPR

    vendredi, 14 septembre 2012 09:08

    Renforcement des capacités en gestion comptable

    Pour une gestion financière transparente et de qualité
    L’un des objectifs de la Direction de Zone Sud-Ouest (DZSO) de l’OIPR est de disposer d’un personnel qualifié pour assurer avec efficacité ses tâches et garantir une utilisation efficiente des fonds de disposition du Projet de Conservation du Parc national de Taï (PCPNT).

    Après la formation sur les procédures judiciaires en juin dernier, la formation sur les procédures comptables, s’est déroulée le samedi 04 août 2012 à la salle de réunion de la GIZ sise à San-Pédro.

    Cette formation dispensée par le Chef du Service Comptabilité de la DZSO a vu la participation du Directeur de Zone Sud Ouest, du Chargé d’étude et de tous les Chefs de Services de la DZSO. Quatre modules ont été abordés au cours de cette séance :

             Module 1 : Notions de base de la comptabilité ;
             Module 2 : Organisation et fonctionnement d’un service comptable ;
             Module 3 : Mise en place de fonds de disposition (projet) ;
             Module 4 : Tenue du livre de caisse et établissement des pièces justificatives.

    Le formateur a d’abord défini certains termes techniques tels que le livre caisse, le grand livre, les journaux, le principe de la partie double, le bilan, etc. puis donné à l’assistance un bref aperçu de l’organisation d’un service de comptabilité.

    Ensuite, il a abordé le chapitre de la mise en place des fonds de disposition avant de clore son exposé par la tenue du livre de caisse et l’établissement des pièces justificatives.

    Pendant la formation, des échanges et des questions/réponses ont permis aux participants de mieux comprendre les termes et procédures abordés.

    De cette formation, les points suivants peuvent être retenus :

           Des audits internes menés par le Comptable de la DZSO peuvent avoir lieu à tout moment ;
           La mise en place des fonds du projet est toujours précédée d’un atelier de planification des activités, sous activités,
              indicateurs, résultats… ;
           Le décaissement des fonds survient après signature d’un contrat de financement et d’une convention séparée ;
           Le Parc national de Taï dispose actuellement de 04 comptes : le compte loyer, le compte projet, le compte Etat et le compte
              FISDES ;
           Le décaissement de fonds du PCPNT se fait par tranche et après justifications des fonds précédemment versés, à
               la différence du PACPNT où les fonds du projet n’étaient justifiés qu’en fin d’exercice ;
          •  Les fonds du PCPNT passent d’abord sur un compte géré par la dette publique avant d’être acheminé sur celui du PNT
               contrairement au PACPNT qui recevait directement les fonds sur son compte ;
          •  Le livre de caisse fonctionne comme une banque et les dépenses y sont enregistrées au jour le jour ;
           Dans le livre de caisse, ne sont enregistrées que les dépenses des fonds provenant du compte projet. Pour les dépenses
              provenant des autres comptes, il faut se référer au service comptabilité pour l’enregistrement ;
             Les pièces justificatives des dépenses doivent porter les mentions suivantes :
    - Le destinataire (PCPNT),
    - La date de l’achat ou de la prestation de service,
    - Les informations sur le prestataire ou le fournisseur (Nom et prénoms, N° du compte contribuable, Régie de commerce, contact, le cachet payé),
    - Le libellé de l’achat ou de la prestation de service.
    Tout achat d’une valeur de 10.000 Fcfa et plus doit être justifié par une facture normalisée ;
    Pour tout achat d’un montant de 40.000 Fcfa et plus, la DZSO doit utiliser un bon de commande et réclamer un bon de livraison au fournisseur.

    A l’issue de cette séance de formation, deux résultats majeurs ont été atteints :

           Résultat 1 : Les chefs de services de la DZSO, détenteurs de caisse, ont maîtrisé les techniques de la tenue et de la présentation des documents comptables conformément aux exigences nationales et  des bailleurs ;
           Résultat 2 : Les participants se sont approprié le processus de la mise en place des fonds de
         disposition du projet.

    Les bénéficiaires ont exprimé leur satisfaction quant aux informations reçues et se sont engagés à gérer selon les normes apprises les fonds mis à leur disposition. Avant de clore cette séance, Le Directeur de Zone a demandé à l’assistance d’appliquer strictement les recommandations issues de cet atelier.

    vendredi, 14 septembre 2012 08:56

    Bientôt la Journée Hippo 2012

    Une journée dédiée à l’Hippopotame Pygmée

    L’Hippopotame Pygmée, Choeropsis liberiensis (Morton, 1849), est une espèce emblématique du Parc national de Taï. Pour mieux le faire connaître et sensibiliser les populations à la préservation de son habitat, une journée lui est dédiée depuis 2010. Cette année 2012, ces journées se dérouleront en octobre.

    vendredi, 14 septembre 2012 08:52

    Bientôt la Journée Hippo 2012

    Une journée dédiée à l’Hippopotame Pygmée
    L’Hippopotame Pygmée, Choeropsis liberiensis (Morton, 1849), est une espèce emblématique du Parc national de Taï. Pour mieux le faire connaître et sensibiliser les populations à la préservation de son habitat, une journée lui est dédiée depuis 2010. Cette année 2012, ces journées se dérouleront en octobre.

    Mais en attendant, retour sur l’édition de 2011 après avoir présenté l’aire de répartition et les menaces sur l’espèce.

    Aire de répartition

    L’Hippopotame Pygmée est une espèce rare et en danger (IUCN, 2007) dont la présence est restreinte à la forêt sub-guinéenne de l’Afrique de l’ouest. Cet habitat a été sévèrement détruit par une déforestation massive, toute chose qui a fait décliner et fragmenter la population d’hippopotames pygmées. Il se retrouve seulement dans 4 pays de l’Afrique de l’ouest : Sierra Léone, Guinée, Libéria, Côte d’Ivoire.

    C’est une espèce animale de nature timide qui vit uniquement sur une superficie de 5000 km2 de l’Afrique de l’Ouest. Le Parc national de Taï en constitue l’un des derniers bastions.

    Menaces sur l’espèce

    Sa population, estimée en 1994 à 3.000 individus, est fortement réduite suite à une pression croissante de l’agriculture et de l’urbanisation. Les estimations indiquent que la plus grande population d’hippopotames pygmées, se trouve en Côte d’Ivoire :

    •          au Parc national de Taï et au Parc national d’Azagny ;
                 •  et probablement dans plusieurs forêts adjacentes au sud-ouest de la Côte d’Ivoire.

    Ce contexte alarmant a suscité le projet Hippopotame Pygmée de Taï, après une rencontre d’experts en novembre 2010 à Monrovia. Cette rencontre avait recommandé que les parties prenantes de tous les niveaux mettent en œuvre des stratégies pour la sauvegarde de l’espèce et de son habitat.

    Sensibiliser pour contribuer à sa protection

    L’édition 2011 de la journée de l’Hippopotame Pygmée a drainé beaucoup de monde (populations et autorités). Les jeunes ont été fortement impliqués à travers des activités attrayantes et instructives :

    •          Projection du film la ‘‘la Forêt magique de l’Hippopotame Pygmée’’ ;
               •  Compétitions sportives ;
               •  Récompenses des meilleurs élèves ;
                •  Jeux de questions-réponses sur l’Hippopotame Pygmée.

    Vivement la journée Hippo 2012, pour encore une fois réunir toutes les parties prenantes autour de cette espèce emblématique du Parc national de Taï.

    Sympathique fut la rencontre entre les responsables de la Direction de zone sud ouest (DZSO), gestionnaire du parc national de tai, la GIZ (partenaire technique pour la conservation du PNT) et l’entreprise NOA Trading, prestataire désigné pour l’électrification de l’Écotel.

    En effet, le mardi 21 février 2012, à 14h30 sous le préau du camp des guides touristiques de l’Écotel Touraco, les parties prenantes au projet d’électrification, ont dans un premier temps passé en revu les recommandations inscrites dans le procès verbal de la réception provisoire de l’électrification de l’Écotel. Ces recommandations étaient constituées de directives adressées à NOA Trading pour l’électrification du site.

    Dans un second temps, ce fut la visite des différents compartiments de l’Écotel Touraco pour constater et réceptionner les installations. La tournée s’est déroulée selon la progression suivante : D’abord le camp des guides, constitués de huit habitations d’une pièce chacune. Chaque habitat est équipé de trois ampoules économiques (une à l’extérieur, deux à l’intérieur dont une dans les toilettes). Au centre du camp des guides se trouve un préau, également électrifié.

    La délégation s’est par la suite déportée au campement de l’Écotel, composés de 10 cases, offrant au total 20 à 25 lits. Toutes ces cases sont électrifiées. La cour de l’Écotel est éclairée par trois lampadaires. Ce fut après la visite de l’administration de l’Écotel. Construite sur pilotis, elle offre une très belle vue sur le Parc national de Tai. La visite a pris fin au parking de l’Écotel qui est également éclairé à l’énergie solaire. L’on peut retenir que NOA Trading à rempli le cahier des charges à la satisfaction de la DZSO qui lui a accordé son quitus.

    Au total, ce sont un parking, l’administration, 8 logements de guides touristiques, 1 appatam, 1 cuisine, 10 cases visiteurs, 1 espace restauration, 1 bloc sanitaire qui sont éclairés à l’énergie solaire en plus des trois lampadaires qui éclairent la cour de l’Ecotel. La puissance totale d’énergie disponible est de 13.558 Wh/jour.

    Avec cette électrification écologique de l’Écotel Touraco, on peut dire sans se tromper, qu’un pas important vient d’être franchit dans le cadre du programme d’écotourisme pour la conservation du Parc national de Tai.

    Après le premier atelier de suivi du plan d’opérations de mai dernier, le deuxième atelier pour l’année 2012 s’est tenu le 3 août dernier à San-Pédro dans la salle de conférence de la GIZ (Coopération Internationale Allemande).

    Les gestionnaires encouragés à redoubler d’efforts
    Après le premier atelier de suivi du plan d’opérations de mai dernier, le deuxième atelier pour l’année 2012 s’est tenu le 3 août dernier à San-Pédro dans la salle de conférence de la GIZ (Coopération Internationale Allemande).

    Le suivi trimestriel de la mise en œuvre du plan opérationnel du Parc national de Taï est une activité de la Direction de Zone Sud-Ouest pour apprécier les efforts accomplis dans la gestion dudit parc.

    Cette revue trimestrielle, qui a réuni au total 24 participants, est réalisée par la Direction de Zone Sud-Ouest (DZSO), en collaboration avec :

             • la Direction Générale de l’OIPR ;

             • les partenaires techniques et financiers du Parc national de Taï dont la GIZ, le Centre Suisse de Recherche Scientifique (CSRS), la WCF ;

             • et les Associations Villageoises de Conservation et de Développement (AVCD).

    Les temps forts de l’atelier ont été :

              • L’ouverture de l’atelier par le représentant du Directeur Général de l’OIPR après le mot de bienvenue du Directeur de Zone Sud-Ouest ;

               •Les travaux en plénière à travers :

    - les présentations des activités réalisées, les raisons des écarts, les mesures correctrices et les responsables de la mise en œuvre des mesures des fonctions de gestion
    - les échanges ;
    - les recommandations de l’atelier
    - les mots de fin des représentants des différentes structures présentes.

    L’objectif poursuivi par l’atelier est d’améliorer le niveau d’exécution du plan d’opérations 2012 à travers la revue des activités réalisées au deuxième trimestre 2012.

    Au terme de l’atelier, les résultats suivants ont été obtenus :

    • le niveau d’exécution technique du plan d’opérations au premier semestre 2012 est estimé à 40% ;

    • le niveau de mise en œuvre des recommandations du premier suivi PO est moyen ;

    • les causes des écarts entre les prévisions du PO au deuxième trimestre 2012 et les acquis ont été expliquées ;

    • les mesures correctrices et les responsables de leur mise en œuvre pour l’amélioration du niveau d’exécution du PO 2012 ont été proposés.

    L’on retient également des interventions que :

    • Cet atelier est une initiative importante qui permet de capitaliser les expériences des agents du PNT dans l’utilisation d’un outil essentiel de gestion. Il s’inscrit aussi dans la perspective d’une meilleure intégration des bonnes pratiques de gestion pour l’ensemble du réseau des aires protégées. C’est ce qui justifie la présence des chargés d’études d’autres Directions de zone de l’OIPR aux activités de suivi du Parc national de Taï
    • • Les gestionnaires du PNT ont été félicités et encouragés pour cette bonne pratique d’échanges et de transparence dans la conduite des affaires, signe de bonne gouvernance du parc. Ils ont été invités à impliquer davantage le Centre de Recherche en Ecologie (CRE) aux ateliers et à l’utilisation des bâtiments réhabilités de la Station de recherche de Taï.
    • • La situation sécuritaire difficile et les difficultés évoquées n’ont pas entamé la détermination des gestionnaires, en témoigne le niveau relativement bon des réalisations (40%).

    Au terme de cet atelier l’ensemble des participants est reparti plus que jamais motivé pour la réalisation des activités programmées pour le troisième trimestre.

    Après trois ans d’inactivité, le Comité de Gestion Locale du Parc national de Taï a repris ses réunions. Le 20 septembre 2012, la première session de l’année 2012 s’est déroulée à San Pédro, sous la présence effective du Président dudit comité, le Préfet de Région du Cavally, M. Henry Abel KOISSI Miézan et 19 autres participants.

    Après trois ans d’inactivité, le Comité de Gestion Locale du Parc national de Taï a repris ses réunions. Le 20 septembre 2012, la première session de l’année 2012 s’est déroulée à San Pédro, sous la présence effective du Président dudit comité, le Préfet de Région du Cavally, M. Henry Abel KOISSI Miézan et 19 autres participants.

    Lucarne sur le Comité de Gestion Locale
    Le Décret 359-2002 de création de l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves prévoit en ses articles 6 à 10 la création et le fonctionnement d’un organe appelé « Conseil de Gestion ». Le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable a officiellement désigné les membres dudit conseil par arrêté n°0036 du 25 octobre 2011.

    A l’instar de cet outil de gouvernance au niveau national, le Comité de Gestion Locale en abrégé (CGL) est institué pour chaque aire protégée. C’est un organe consultatif qui donne son avis sur toutes les questions d’ordre technique, culturel ou budgétaire qui lui sont soumises par le Directeur de l’aire protégée.

    Le CGL du Parc national de Taï est crée par  arrêté préfectoral en date du 21 février 2007. La dernière session de ce comité a eu lieu le 10 septembre 2009 sous la présidence du Préfet de Région du Moyen Cavally d’alors, Colonel DANON Djédjé Appolinaire.

    M. Henry Abel KOISSI Miézan, Préfet de Région du Cavally, a présidé la session CGL du 20 septembre 2012 qui s’est tenue à San-Pédro.

    La quasi-totalité des membres statutaires présents

    La session du CGL a réuni :

           13 membres statutaires sur 15 (absents : le représentant des ONGs et le Conseil Général de San-
              Pédro);
           5 observateurs : Directeur Général de l’OIPR, Directeur de la GIZ et chargé de la Composante PNT
              et Biodiversité, représentant de CHC (agro-industriel de l’hévéa) ;
        •   et 2 autres agents de la Direction du PNT : chargé d’études et chargé de la surveillance.

    Des sujets importants débattus
    A l’ordre du jour, cinq points ont été analysés par le comité :

    1. Lecture et adoption du compte rendu  de la réunion du 10 septembre 2009 à Guiglo ;
    2. Présentation du Plan d’Opérations 2012 du Parc national de Taï ;
    3. Présentation des actions de lutte contre les pressions anthropiques sur le PNT ;
    4. Présentation du processus d’actualisation du plan d’aménagement et de Gestion ;
    5. Présentation du projet de verdissement de la production de cacao dans la zone périphérique.

    Du travail en perspective

    Au cours de la session, les participants ont recommandé, entre autres, aux gestionnaires :

           d’améliorer la communication avec toutes les parties prenantes ;
           de sensibiliser les populations, les services techniques du gouvernement, les agro-industriels en
         périphérie du parc avec l’appui des autorités administratives sur les pressions anthropiques ;
           de mettre l’accent sur les infrastructures sociales de base dans l’appui au développement local des populations riveraines du PNT
                                                     d’organiser une visite des infrastructures touristiques du PNT.

    (Voir compte rendu provisoire de la session du 20 septembre 2012)

    C’est sur des mots de satisfaction, de joie et de remerciements des participants pour cette reprise des sessions du CGL que la séance a été levée à 17H20.

    Les microprojets ont pour objectif de contribuer à la réduction significative des pressions anthropiques sur le Parc national de Taï, en proposant aux populations riveraines des activités alternatives. Mais la mise en œuvre de ces activités a connu quelques difficultés, à en croire les rapports fournis par PROMAK AFRIC, structure chargée de l’encadrement technique des promoteurs.

    Afin d’apprécier l’adéquation entre les informations fournies dans les rapports d’exécution et la réalité du terrain une mission conjointe a été réalisée, du 27 au 31 aout 2012, dans les secteurs de gestion de Soubré, ADK/V6 et Djapadji pour y faire l’état des lieux des microprojets.

    En effet, les derniers rapports de suivi des microprojets (mai-Juin 2012) mentionnaient des difficultés dans la mise en œuvre de certains microprojets financés par les fonds Ivoiro-Suisse (FISDES) et le microprojet de Lobikro.

    Ont participé à cette mission conjointe les structures suivantes :

             La Direction de Zone Sud-ouest de l’office Ivoirien des parcs et réserves ;
           Le Projet de Développement Economique en Milieu Rural ;
             La Direction Départementale des Ressources Animales et Halieutiques.
             PROMAK AFRIC ;

    Cette mission conjointe visait les objectifs suivants :

           •  Faire le point sur les dernières évolutions des microprojets où des difficultés ont été constatées ;
             Détecter les insuffisances au niveau du PRODEMIR, de la DZSO, des groupements, de PROMAK AFRIC, …) ;
             Proposer les améliorations nécessaires dans l’ensemble du dispositif d’exécution, d’encadrement et de suivi des      
                microprojets dans la zone périphérique du PNT pour que l’ensemble des microprojets soit bénéfique pour les membres      
                des groupements et pour la conservation du  PNT ;
             Préciser conjointement les activités à mener dans l’appui, le suivi et l’encadrement de ces MP ;
           •  Proposer des alternatives viables pour relancer l’activité du groupement FPL de Lobikro (projet d’élevage de porcs).  

    Au total 6 microprojets, dont celui financé par l’ambassade suisse, ont été visités. Ces microprojets portent sur l’élevage de porcs et de poules pondeuses. La visite du microprojet de pisciculture du groupement Benkadi de Djouroutou reste à programmer.

    A chaque étape de la mission, l’équipe a visité le projet mis en œuvre pour relever les forces et les faiblesses tout en menant une discussion avec les promoteurs pour avoir davantage d’explications. En fin de journée, une synthèse était faite pour arrêter des décisions consensuelles.

    Au cours de la mission conjointe, une revue du dispositif de mise en œuvre des microprojets a été faite. Les prérogatives de chaque partie prenante ont été rappelées, les insuffisances ont été discutées et des recommandations ont été faites.

    Au total, cette mission conjointe était nécessaire, elle aura eu pour mérite d’harmoniser les points de vue des parties prenantes et de mettre chacune devant ses responsabilités. Toute chose qui, on peut l’espérer, favorisera une conduite correcte des projets autour du Parc national de Taï.

    Le rapport final de cette mission conjointe sera bientôt disponible.

    Les chimpanzés sont les espèces animales qui ont le plus été l’objet de recherche scientifique continue au Parc national de Taï. 33 années de recherches ont été consacrées à cette espèce emblématique dont la renommée est aujourd’hui mondiale.

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